Qui aura raison un jour de lui-même au miroir du néant
Aura cru ivre de rencontres être aimé de cet autre évanescent
De ce double des tréteaux des applaudissements…
Qui saura le bonheur de ne croire en rien d’autre pourtant
Que cet autre différent dans son pas comme un chant
Une voix venue cueillir des mots d’espoir pour un instant…
Il aura cru voir mais il écoutait
Il aurait voulu entendre mais il discourait
Le temps a fait son office de riz cantonnais…