j’astrolabe
mes navires s’échouent
sur des terres insensées
d’amour
de cymbales
Certains jours voyez-vous
je grandis au-dedans
j’arpente des mondes
de fer et de sang
je sonde
l’élan
de mon coeur fou
Voyez-vous Dume m’attend
au bar à vins
à Ajaccio
des rimes pures
pleines les mains
du vent l’épure
entre les dents
Certains jours voyez-vous
j’astrolabe
je cloue
mes rêves
au totem des syllabes
j’avance en sève
je me dénoue
J’ai tant d’amour
à moindre larme
à moindre sou
des tout-en-couleur
des modestes
pour des clous
et le reste